Kafka on the Shore (海辺のカフカ, Umibe no Kafuka) is a 2002 novel by Japanese author Haruki Murakami. Its 2005 English translation was among "The 10 Best Books of 2005" from The New York Times and received the World Fantasy Award for 2006. The book tells the stories of the young Kafka Tamura, a bookish 15-year-old boy who runs away from his Oedipal curse, and Satoru Nakata, an old, disabled man with the uncanny ability to talk to cats. The book incorporates themes of music as a communicative conduit, metaphysics, dreams, fate, the subconscious.
After the release of the book, Murakami allowed for questions about the novel to be sent in, and responded to many of them. The novel was generally well-received, with positive reviews from John Updike and the New York Times.
A quite interesting mystery full of self-discovery at its core, with quite an unusual narrative that tells this story from multiple angles at once, this book seemed quite promising from the start. However, the overly casual dialogues that oscillate between intentionally inarticulate and pseudo-intellectual quickly got on my nerves, and the subsequent attempts to make light of pedophilia as well as incest were only the last straw. I'm fairly confident that this is the worst book that I've read in the past decade or so.
Livre conseillée par la bibliothécaire et on ne ressort pas tout à fait indemne de ce pavé de 600 pages...
Globalement, le livre m'a plu même si j'ai mis beaucoup de temps à le lire, car c'est un roman riche à l'intrigue plutôt complexe. J'ai aimé le côté contemplatif et le rythme lent de l'intrigue, qui cependant ne comportait pas de blancs superficiels mais progressait lentement tout en conservant son suspense. Pour ce qui est de l'intrigue, on suit deux histoires parallèles et tout le long de la lecture on se demande en quoi elles sont liées. Ce qui commence par une histoire basique d'un adolescent qui fugue se transforme en véritable épopée philosophique et poétique, en prophétie dans un univers à la fois réaliste et magique, teinté par l'ambiance mystique du Japon.
Ce qui m'a particulièrement plu est l'authenticité et la complexité des personnages : on a l'impression que …
Livre conseillée par la bibliothécaire et on ne ressort pas tout à fait indemne de ce pavé de 600 pages...
Globalement, le livre m'a plu même si j'ai mis beaucoup de temps à le lire, car c'est un roman riche à l'intrigue plutôt complexe. J'ai aimé le côté contemplatif et le rythme lent de l'intrigue, qui cependant ne comportait pas de blancs superficiels mais progressait lentement tout en conservant son suspense. Pour ce qui est de l'intrigue, on suit deux histoires parallèles et tout le long de la lecture on se demande en quoi elles sont liées. Ce qui commence par une histoire basique d'un adolescent qui fugue se transforme en véritable épopée philosophique et poétique, en prophétie dans un univers à la fois réaliste et magique, teinté par l'ambiance mystique du Japon.
Ce qui m'a particulièrement plu est l'authenticité et la complexité des personnages : on a l'impression que ce sont des vraies personnes que l'on pourrait croiser dans la rue et leurs conversations sont tout à fait passionnantes. L'auteur traite de beaucoup de sujets profonds (j'ai bien aimé la façon dont il parle de la transidentité et de l'homosexualité) mais sait garder beaucoup d'humour dans les dialogues et certaines situations absurdes. Le duo composé de Nakata et Hoshino est vraiment touchant et j'aime également beaucoup le personnage d'Oshima qui agit comme un véritable guide rassurant. Le Garçon nommé corbeau est un concept intéressant.
Cependant il y a des choses qui m'ont moins plus dans ce roman et qui m'ont parfois donné du fil à retordre : il y a quelques triggers qui m'ont gênées (sang, viol, sexe explicite, maltraitance animale, mort) qui sont toutefois justifiées par l'intrigue et ne m'ont pas semblés comme de la "violence gratuite". De plus, la sexualisation des personnages féminins m'a dérangé : il y a peu de personnages féminins et elles ne sont présentes que pour être l'objet des désirs d'un homme ou pour s'occuper d'eux comme bonne ménagère. Apparemment, ce serait un motif récurant dans les livres de cet auteur mais c'est le seul roman que j'ai lu de Murakami et je ne pourrais l'affirmer. Enfin, on n'a pas de réelle réponses à certaines questions à la fin de l'histoire, ce qui est un peu frustrant.
Pour résumer, ce roman m'a fait méditer sur la vie et m'a transporté dans un univers étrange et intéressant, je le referme en ayant l'impression d'avoir fait un rêve...
This is my first Murakami book. And I really liked his style of writing. Murakami has a knack for capturing beauty, mood, and scenery perfectly. And that is what stood out for me among all the magical realism and philosophical ideas in the book. Just like how reality can be modeled by mathematics in a much better way if imaginary numbers are used, with skillful writers like Murakami, magical worlds can convey the truth and real feelings better than hyper-realism. I do not claim to have solved all the riddles the plot posed, but I doubt that is the point of the book. Unlike his mastery of building and conveying the mood and beauty, Murakami's attempt at conveying philosophical ideas is not as successful. Some of the philosophical ideas unintentionally felt like funny philosophical arguments written by Douglas Adams. But that is just a minor gripe I have in an …
This is my first Murakami book. And I really liked his style of writing. Murakami has a knack for capturing beauty, mood, and scenery perfectly. And that is what stood out for me among all the magical realism and philosophical ideas in the book. Just like how reality can be modeled by mathematics in a much better way if imaginary numbers are used, with skillful writers like Murakami, magical worlds can convey the truth and real feelings better than hyper-realism. I do not claim to have solved all the riddles the plot posed, but I doubt that is the point of the book. Unlike his mastery of building and conveying the mood and beauty, Murakami's attempt at conveying philosophical ideas is not as successful. Some of the philosophical ideas unintentionally felt like funny philosophical arguments written by Douglas Adams. But that is just a minor gripe I have in an otherwise wonderful book. This book reminded me of the narrative style of the movie 'Mulholland Drive' by David Lynch. It has the same dreamy, interwoven narrative.
Recommended! I look forward to reading more Murakami books.