Blackwater.

Bon, ça fait longtemps que je procrastine cette critique alors voilà :

J’ai trouvé l’histoire bien amenée, il n’y avait pas de superflu, chaque chose aidait au scenario. La lecture n’était pas difficile, le vocabulaire était compréensible. Bref, dans la forme, j’ai kiffé.

L’histoire n’est pas en reste ; on comprend les personnages, leurs motivations… sauf our une, Elinor Dammert qui, malgré quelques indices au fur et à mesure du réccit continue de nous cacher son secret bien après la dernière page du livre. Il faudra sans doute lire les prochains volumes pour avoir leur cœur net sur ses machinations. J’ai été assez étonnée de son caractère et sur ce qu’elle fait dans la ville, et comment les autres habitants de Perdido réagissent face à ces derniers. Mais positivement, bien entendu.

Mais si je devais avoir un point noir ( et encore, c’est vraiment chercher la bête), c’est qu’à la fin de ma lecture, je n’ai pas l’impression d’avoir lu une histoire entière, avec un arc narratif complet. A l’instar des chapitres de webnovel, j’ai payé pour une partie de l’histoire, pas pour un livre en tant que tel. Mais même cette critique peut être expliquée, il s’agit là, en effet, que du premier tome d’une série. Cela rend, malheureusement, le livre oubliable. Rien du livre ne reste fondamentalement dans mn esprit.

C’est un chouette livre, j’ai hâte de lire la suite mais voilà, il ne reste que un livre parmi tant d’autres pour moi.